La tréve des confiseurs
Très occupé en ce moment je n’ai plus le temps de faire des articles( pourtant les sujets ne manquent pas) et d’aller visiter vos sites , je pense que vers le 4 janvier 2008 je reprendrais le cours normal …….En attendant quelques histoires et un peu de musique……..avec mon directeur de programation
Une petite histoire pour la route......
Un homme joue au golf pour la première fois sur un terrain particulièrement compliqué. A un certain moment, il s'embrouille et n'est plus certain de l'endroit exact où il se trouve sur le parcours.
En regardant autour, il aperçoit une femme qui joue devant lui. Il s'approche, s'excuse, lui explique sa confusion et lui demande si elle sait sur quel trou il joue.
Elle répond : « Eh bien, je suis sur le 7ème et vous êtes un trou derrière moi, alors vous devez être sur le 6ème. »
L'homme la remercie et poursuit sa partie. Un peu plus tard, la même situation se produit. Il approche encore une fois de la femme et lui pose la même question.
« Je suis à présent sur le 14ème trou, répond la femme, et vous êtes un trou derrière moi. Vous devez donc être au 13ème. »
L'homme la remercie à nouveau et termine sa partie.
Lorsqu'il entre au chalet, il aperçoit la femme assise au bar. Il demande au barman s'il la connaît.
Il répond dans l'affirmative :
« Elle est représentante et vient jouer à ce club régulièrement. »
Notre golfeur s'approche d'elle et lui offre un verre pour la remercier.
« - Je crois comprendre que vous êtes représentante. Je suis également dans la vente. Qu'est-ce que vous vendez ?
Si je vous le dis, promettez-moi de ne pas rire.
D'accord, répond l'homme.
Eh bien, poursuit-elle un peu gênée, je travaille pour Tampax. »
Sur ce, l'homme se met à rire à gorge déployée.
«Je savais que vous ririez de moi, chaque fois que je dis ce que je vends, c'est la réaction que ça provoque."
Non, non, répond l'homme après avoir essuyé ses larmes, je ne ris pas de votre profession !
Je travaille chez Lotus et je vends du papier toilettes, je suis encore un trou derrière vous ! »